Ce weekend, lors de la course de Daytona 500, plus de 21 voitures se sont percutées. Ce type de crash, très impressionnant, est malheureusement assez fréquent et fait parti de la culture du sport. Pourquoi ? » ‘Cause NASCAR boy ! ».
C’est terrible à dire, mais c’est presque inutile de mentionner quelles sont les voitures responsables de ce carambolage géant (Matt DiBenedetto #95 et Paul Menard #21). C’est un peu comme dans des courses en Ligue Amateur sur Gran Turismo Sport. Tu t’en fiches de savoir qui a créé l’accident, tu veux juste ne pas te manger une voiture en roulant à 200 km/h, à l’arrêt au beau milieu du circuit !
The Big One ends the hopes of at least 18 cars in the #DAYTONA500. pic.twitter.com/0U0PpvaCy8
— NASCAR (@NASCAR) February 17, 2019
Mention spéciale à la voiture #38 qui se retrouve quasiment sous la voiture #10, et qui reçoit un volume incroyable d’étincelle. Pratiquer le NASCAR n’est pas seulement « tourner » à gauche, c’est aussi échapper à la mort, à chaque course. Bien qu’une course dont le circuit est ovale n’est pas une garantie de haut divertissement, les crashs font souvent office de spectacle malgré les lourdes conséquences qui peuvent en découler. C’est un sport impitoyable qui demande presque autant de chance que de talent. Pour preuve, Brett Moffitt, champion en titre lors de la saison 2018, a été pris dans ce carnage, contre son gré.