Le centre de Paris sera encore, probablement, envahi et bloqué demain avec la nouvelle journée de mobilisation des gilets jaunes. Dans le Vaucluse, un mouvement entend s’opposer aux gilets jaunes : les foulards rouges. Downshift a décidé de monter un troisième mouvement : les bonnets bleus.
On vous la fait courte : ce samedi 1er décembre devrait une nouvelle fois être une belle journée de pagaille dans le centre de Paris et partout où les gilets jaunes se réuniront. Si vous les soutenez, vous sera alors probablement aux manifestations, et si vous vous opposez aux gilets jaunes, voilà une nouvelle initiative.
Foulards rouges
Elle nous vient du Vaucluse où quelques centaines de personnes lancent un nouveau mouvement baptisé « foulard rouge », pour montrer de manière pacifique le ras-le-bol de certains automobilistes vis-à-vis des gilets jaunes. Le but serait ainsi, simplement, d’exprimer son agacement.
Ce serait en quelque sorte la « contre insurrection » après deux semaines de pagaille en France, même si, selon les sondages, une bonne partie des Français semblent soutenir les gilets jaunes.
Downshift lance les bonnets bleus
Face à ces deux mouvements qui s’opposent, et puisque nous ne faisons pas de politique ni de parti pris, Downshift a décidé de lancer une troisième vague qui va submerger la France et même l’Europe toute entière (oui, nous sommes ambitieux).
Mais quel est-il ? C’est simple : vous porterez des bonnets bleus. Que ce soit pour protester contre le sous-virage, les pneus qui s’usent trop vite, les Honda Civic trop chères sur Leboncoin, les fanboys en tout genre, les turbos qui soufflent pas assez fort, les diesels qui fument noir, le design de la Toyota Prius, ou encore les délais de livraison de l’Alpine A110, du moment que c’est subjectif, partial, et complètement stupide : portez un bonnet bleu.
On en profitera ainsi pour discuter tous ensemble de nos petits « soucis » d’automobilistes autour d’un café sur le parking Carrouf du coin en sirotant une Monster/Red Bull sur le capot fraîchement repeint d’une Seat Leon FR TDI Stage 8.
Alors, chiche ?