Avant toute chose, minute définition. Une voiture connecté est équipée d’une interface de type 3G/4G qui permet l’échange d’informations avec des serveurs de données. L’objectif est d’augmenter le capital sécurité, économiser du temps sur les déplacements, ou encore réduire les émissions des dites voitures connectés. A terme, elles seront parfaitement automne et pourront rouler sans votre aide.
Quel avenir pour la voiture connectée ?
Le véhicule connecté n’est que la première étape. On voit déjà que certains constructeurs sont capables de mettre à jour les logiciels de certains calculateurs à distance. Le but étant, par exemple, d’ajouter de nouvelles fonctionnalités en évitant de passer en atelier. A terme, cette fonction continuera de s’étendre à l’avenir et communiquera avec les divers infrastructures routières comme les feux de signalisation, les capteurs météo, ou encore les péages afin de prévenir des dangers ou optimiser les trajets des usagers.
Qui n’a pas rêvé d’avoir tous les feux verts en allant à son travail ? Demain, on pourrait tout à fait imaginer un système indiquant à votre voiture connectée la vitesse à respecter afin de passer tous les feux au vert. Cette dernière dialoguera également avec d’autres véhicules, afin d’augmenter le capital sécurité de l’usage. Si d’autres véhicules devant lui sont mis à défaut à cause de verglas, vous serez avertis.
Achetez dès maintenant votre voiture connectée en souscrivant un crédit voiture.
Véhicule autonome
Le véhicule autonome est l’étape ultime et un challenge pour de nombreux entreprises et start-ups du secteur. Les constructeurs ne sont pas les seules à travailler le sujet et sont d’ailleurs loin d’être les plus experts dans le domaine (Tesla mis à part). Valeo et Bosch, équipementiers automobiles, poursuivent une stratégie d’acquisition de données via leurs concept respectifs de voiture autonome. Lors des derniers éditions du CES (Consumer Electronics Show), vous pouviez retrouvez des start-ups telles que Cariboo ou Xee. Suivent ensuite les fournisseurs de matériels comme Intel ou Qualcomm qui profite que leur poids industriel pour celer des partenariats avec des constructeurs pour être sûr de ne pas manquer le coche et être du bon côté de l’Histoire. Enfin, les géants Microsoft, Google (Open Automotive Alliance (Android) et Apple (CarPlay) ont déjà annoncés leurs souhaits de prendre par à ce marché ne devenir présents sur le marché de la voiture connectée.
A terme, l’idée est que votre voiture connectée pourra coopérer avec d’autres véhicules, partager ses itinéraires et sa géolocalisation actuelle au mètre près pour que les autres usagers adaptent leurs mouvements en conséquent si vous ralentissez, tournez ou changez de voie.
Conduire, c’est avant tout communiquer (avec les autres véhicules de la route) et s’informer (lire la signalisation, anticipera les embouteillages et accidents…). Toutes ces choses faites par les humains aujourd’hui sont faites naturellement. Demain, toutes ces actions jugées à faibles valeurs ajoutées seront intégrées et exécutées par votre voiture connectée et autonome.
Reste le sujet du partage de données. Certains constructeurs offre le choix à leurs usagers afin de consentir, ou non, au partage des données et notamment des vidéos prises par le véhicule. Cela reste bénin et pas nécessairement expliqué aux clients lors de la livraison de leur voiture connectée.