En ce jeudi férié ou tout le monde pense à son long week-end de débauche et de beuverie (après 87 heures d’embouteillage), on vous fait découvrir un engin de la mort. Il prend près de 12 000 tr/mn, mais ce n’est pas un VTEC.
On vous prévient d’entrée : si vous êtes tatoué du drapeau du Japon, et que vous pensez qu’il n’y a que les moteurs japonais qui prennent des tours, rentrez à la maison. En effet, sous la monstrueuse allure de cette Mercedes SLK qui, d’habitude, est conduite par des femmes blondes de 65 ans sur la Croisette, se cache un V8 Judd (d’origine anglaise) emprunté à un prototype LMP2 de compétition d’endurance. Voilà pour le décor.
Cette engin de la mort est baptisé SLK340 Judd V8. Le huit cylindres prend près de 12 000 tr/mn, et l’auto a gagné de nombreux titres de compétition en course de cote. D’ailleurs, elle était championne de la montagne en Suisse en 2018 (oui, ça existe). La coque vidée de la SLK est donc facilement déplacée par les quelque 650 ch du V8 3.4.
Tellement facilement, en fait, que les passages en courbe en caméra embarquée foutent littéralement la frousse. On vous le dit, ce n’est pas un moteur pour les fragiles, et mieux vaut avoir un coup de volant réactif sur des routes sinueuses et étroites avec un tel engin.
L’auto a été construite par les Suisses de Meisel Motorsport, avec l’aide du tuner Mercedes Carlsson Germany. Pourquoi avoir choisi un SLK ? On vous le demande, tiens. Mais franchement, on adore, juste pour le pied de nez.
Bravo aux concepteurs de cette magnifique voiture. C’est vraiment une petite bombe avec une adhérance folle. Encore félicitations pour ce magnifiue prototype . Couleur et look superbe, digne de son moteur époustouflant. Existe t’il une maquette en métal
au 1:18 ème ou à construire en plastique, je suis preneur car collectionneur des mercedès au 1:18.
Merci pour ces bons moment devant la vidéo.