Volkswagen T-Roc R : des chevaux et de la hauteur

Volkswagen dévoile officiellement le nouveau T-Roc R. Vous l’avez deviné, il s’agit de la déclinaison sportive du T-Roc. Et encore et toujours avec ce bon vieux quatre cylindres 2.0 turbo.

Quand le groupe Volkswagen veut rentabiliser un moteur, il le fait, et pas qu’un peu. Skoda Octavia RS, Volkswagen Golf GTI, Volkswagen Golf R, Audi S3, Seat Leon Cupra, Cupra Ateca et maintenant Volkswagen T-Roc R, le 2.0 turbo a droit à des déclinaisons dans tous les sens.

On ne va pas trop s’attarder sur le design, c’est de l’habituel. Il s’agit donc d’un T-Roc gavé aux stéroïdes, avec des ailes plus larges, des jantes plus grosses, des boucliers redessinés avec entrées d’air et un diffuseur arrière qui accueille quatre sorties d’échappement, soit autant que le nombre de cylindres (heureusement que ce n’est pas un V12, sinon imaginez la tronche du bouclier arrière).

Nous sommes, il faut le dire, assez déçus par la présentation intérieure franchement timide de ce T-Roc R qui se contente d’un pédalier aluminium et de sièges spécifiques, entre autres. Mais il ne fallait pas non plus attendre de Volkswagen un habitacle faisant dans la folie.

Vous imaginez bien que ce qu’il y a de plus intéressant n’est pas les feux de jours à LED mais bien le moteur. Ici, le quatre cylindres 2.0 suralimenté revendique 300 ch et 400 Nm de couple. Des valeurs presque habituelles désormais pour ce genre de moteur, et qui, associées à la transmission intégrale et à la boîte DSG, permettent au T-Roc de passer les 100 km/h en 4,9 secondes. Ce qui, il faut bien le dire, est une valeur sacrément honorable !

Vous avez un T-Roc R 1.0 TSI et vous souhaitez l’échanger en concession pour ce R ? Patientez un peu, dans ce cas, puisque les tarifs ne sont pas connus. La commercialisation devrait avoir lieu plus tard dans l’année.